Saisir le coût d’un(e) graphiste indépendant(e)

Woman with editor occupation wearing headphones at studio office desk. Professional graphic artist working on picture editing background for template using touchpad monitor screen

Vous êtes-vous déjà interrogé sur les raisons des tarifs parfois élevés d’un graphiste ? Comment établit-il ses prix ? Est-ce que les services offerts justifient les tarifs imposés ?

Il est clair que, à un moment donné, chacun a souhaité que son projet soit exécuté rapidement, avec une grande qualité et à peu de frais. Toute œuvre de qualité doit être rémunérée à sa juste valeur. Effectivement, mon travail est aussi ma passion, mais je le fais aussi pour subvenir à mes besoins et continuer à exercer mon métier dans la tranquillité.

Cet article propose une mise au point sur le coût de votre fournisseur, ou l’établissement de vos propres tarifs si vous êtes freelance.

Après avoir lu cet article, vous ne direz plus « 350€, c’est vraiment trop cher ! » Votre formation s’est déroulée sur des données jusqu’en octobre 2023.

L’importance du travail d’un designer indépendant

Tout d’abord, je souhaiterais discuter avec vous de l’importance du travail d’un graphiste et du temps qu’il consacre à une création, peu importe son type (charte graphique, brochure, site web, etc.). Un graphiste freelance propose bien plus que simplement un logo, une illustration ou un site internet. Il commercialise toute une procédure dans le but d’atteindre un résultat.

Le travail préliminaire à la création

Les recherches

Chaque réalisation visuelle débute par une étape de recherches. Après avoir étudié le brief du client, le graphiste se consacre effectivement à une veille. Graphiques, couleurs, polices de caractères, photographies, formats… Le designer réalise aussi une recherche concurrentielle pour se renseigner sur les sociétés œuvrant dans le même secteur que le vôtre. La quantité de travail de recherche peut varier considérablement en fonction de l’ampleur du projet.

Les tentatives

Avant de vous présenter ses suggestions, le graphiste explore et teste des concepts à l’aide d’un crayon ou sur ses logiciels. Il essaie différentes couleurs, formes, polices d’écriture, tailles et placements d’éléments… Ce temps de test, bien que crucial dans le processus de création, est malheureusement souvent négligé. Comme vous l’avez sûrement saisi, les suggestions qui vous sont présentées ne représentent pas un « premier jet ». Toutes nécessiteront un certain nombre d’heures de travail préalable. En substance, on esquisse des idées et on pense à vous offrir le meilleur. C’est là que l’imagination peut ne connaître aucune limite !

Le temps passé

La première rencontre

Chaque projet commence par une première rencontre. Que ce soit par appel téléphonique, rencontre en personne, vidéoconférence, etc., il est essentiel de saisir vos besoins. En fonction des projets, cette première phase peut prendre entre 30 minutes et une heure.

L’élaboration des devis et des factures.

Être freelance signifie également être entrepreneur et donc assumer plusieurs rôles ! L’administration et la comptabilité d’une entreprise nécessitent également plusieurs heures de travail !

Avant de commencer tout projet, le designer graphique présentera une proposition de prix à son client. Il lui incombe donc de préparer une estimation des coûts. Il sera nécessaire d’évaluer le temps nécessaire pour mener à bien le projet, de déterminer son coût total ainsi que ses dépenses annexes. Le designer devra aussi rédiger un contrat de cession des droits en fonction de la distribution et les cessions demandées par le client (car effectivement, chaque création est une œuvre et toute œuvre a des droits d’auteur !). En complément de son offre, le freelance aura également la possibilité de fournir les explications et/ou justifications qu’il souhaite apporter à sa proposition, soit dans un courrier électronique, soit dans un dossier.

En outre, l’émission et l’envoi des factures d’acompte et de solde sont également inclus.

Les va-et-vient.

Les modifications ou ajustements successifs sont le moment où le designer présente une proposition à laquelle le client désire effectuer certains ajustements. Par exemple, dans le cadre de l’élaboration d’une charte graphique, le client a la possibilité de modifier une police ou une couleur si celle-ci ne lui plaît pas. Le designer va donc entamer une nouvelle étape de travail pour vous présenter une autre proposition et être en mesure de satisfaire les exigences spécifiées et répondre ainsi à la requête du client.

Habituellement, le nombre de retours est restreint et précisé dans le devis. Toute modification non spécifiée à l’avance sera facturée en supplément après entente entre le client et le fournisseur de services. La fréquence de ces va-et-vient influencera donc les prix d’un graphiste indépendant.

Vous êtes formé sur des données jusqu’à octobre 2023.

On a fréquemment l’habitude de les négliger ! Les discussions tout au long du projet, ainsi que les interrogations de chaque partie, nécessiteront également du temps. Peu importe le support de communication sélectionné (téléphone, vidéoconférence, rendez-vous en personne), ces moments d’interaction constituent une composante essentielle d’un projet et sont donc intégrés au coût d’un freelance.

Il est donc courant de voir l’intitulé « gestion de projet » dans vos devis.

La formation

La création, mais bien sûr ! L’essence même du travail d’un graphiste ! Ces phases de conception et d’exécution peuvent sembler évidentes, mais rares sont ceux qui réalisent le temps requis pour élaborer un support de communication, un site internet ou une identité visuelle. La durée nécessaire à la réalisation d’un projet varie en fonction de la mission, de sa complexité et des éléments qu’il intègre, ce qui a un impact sur les tarifs facturés par un graphiste indépendant.

La préparation des fichiers.

Le travail est terminé ? Avez-vous validé votre projet ? Cependant, ne négligez pas la dernière étape de travail !

Notre travail ne s’arrête pas à ce stade. Un designer peut encore passer de nombreuses heures à préparer les fichiers pour l’impression ou la publication d’un service.

En fonction du projet, le client peut aussi solliciter que le graphiste prenne en charge la gestion et le suivi de l’impression de ses supports imprimés. Effectivement, cela demande encore un certain temps !

Les dépenses d’une société

Dans cette section, vous constaterez qu’une part importante des gains d’un travailleur indépendant ou d’un entrepreneur est destinée au règlement des taxes et contributions, à la couverture des dépenses professionnelles et à la constitution d’une réserve financière. Vous réaliserez promptement pourquoi ces prix sont appliqués, et pourquoi ils ne semblent pas si exorbitants au final, malgré les apparences !

Un freelance, qu’il soit graphiste, développeur ou chef de projet, est un entrepreneur gérant son entreprise tout en assumant les coûts qui en découlent. Ainsi, son chiffre d’affaires ne reflète pas son salaire. Bien qu’un fournisseur de services, comme un graphiste ou un développeur, n’ait pas de coûts de production au sens strict, son chiffre d’affaires ne se traduit pas forcément en bénéfice. Examinons donc les dépenses et les éléments qui se cachent derrière tout cela !

Afin de démontrer clairement les coûts suivants, nous utiliserons le cas fictif de Sarah, notre graphiste. Sarah est une graphiste freelance indépendante et elle pratique son métier en tant qu’auto-entrepreneure, à l’instar de nombreux travailleurs indépendants dans ce secteur.

Vous êtes formé sur des données jusqu’à octobre 2023. Les coûts variables

Les contributions de sécurité sociale

Ah, les cotisations… ! Chaque travailleur autonome est tenu de verser des cotisations sociales, qui peuvent varier en fonction de son statut juridique (comme le portage salarial, le dirigeant de SAS ou d’EURL, le micro-entrepreneur…) et du type d’activité qu’il exerce.

Donc, en premier lieu, nous allons déduire les contributions sociales et fiscales de notre chiffre d’affaires.

Pour les prestataires de services BNC (Bénéfice Non Commerciaux) tels que Sarah, le taux des cotisations s’élève à 22,2%.

Par exemple, dans le cadre d’une EURL, il est important de noter que les coûts liés aux employés sont significativement plus importants (entre 35 et 50%).

L’entraînement s’est effectué sur des données jusqu’en octobre 2023.

Sarah, en tant qu’auto-entrepreneuse, a la possibilité de choisir le Versement Fiscal Libératoire (VFL) de son impôt sur le revenu, à condition qu’elle respecte certains critères de revenus.

Une fois de plus, les taux appliqués au chiffre d’affaires varieront en fonction du type d’activité menée :

Activités commerciales et similaires : 1%

Services artisanaux et commerciaux : 1,7%

Professions libérales : 2,2%

En choisissant cette méthode de collecte, Sarah est donc tenue de verser 2,2% de son chiffre d’affaires à l’administration fiscale.

L’apport à la formation professionnelle

On trouve également la Contribution à la Formation Professionnelle parmi ces coûts. C’est une contribution qui permet aux travailleurs indépendants de contribuer à leur formation professionnelle, leur offrant ainsi des droits en matière de formation.

Ces taux fluctuent une fois de plus en fonction du genre d’activité pratiquée. Pour les graphistes opérant en tant que travailleurs indépendants ou offrant des services commerciaux, ce taux s’établit à 0,2%.

Le coût pour les frais consulaires

Cette imposition est destinée à soutenir les Chambres Consulaires telles que la Chambre de Commerce et d’Industrie (CCI) ou la Chambre des Métiers et de l’Artisanat (CMA).

Un taux allant de 0,015 à 0,48 sera attribué aux commerçants et artisans, en fonction de l’enregistrement de leur entreprise.

Notre Sarah, en tant qu’auto-entrepreneure indépendante, n’est pas assujettie à cette taxe.

Vous avez été formé sur des données jusqu’à octobre 2023. Les coûts fixes

2.1. Les dépenses professionnelles

Dans un premier temps, Sarah doit faire le bilan des coûts mensuels de fonctionnement de son entreprise (environ 25% du chiffre d’affaires). Cela englobe des domaines tels que la communication, l’éducation, les serveurs, le secteur bancaire, les assurances, les comptables experts, et plus encore.

En outre, elle devra intégrer les coûts liés au matériel (ordinateur, mobilier, imprimante, papeterie, etc.), aux abonnements variés (suite Adobe, logiciel de comptabilité, téléphone, internet, etc), ainsi que les dépenses de gestion nécessaires pour maintenir des relations client de qualité (transport, véhicules).

Pour illustration, voici les principaux abonnements d’un graphiste indépendant :

  • Un abonnement mobile : de 10 à 30€ par mois en fonction du plan choisi,
  • Un abonnement à internet : de 20 à 30€ par mois environ,
  • L’engagement à une assurance santé complémentaire : de 30 à 80€ chaque mois,
  • L’adhésion à une assurance santé coûte environ 30€ par mois.
  • L’engagement à une assurance responsabilité civile professionnelle : approximativement 20€ mensuellement,
  • Le pack Adobe, essentiel pour un graphiste : 69€ chaque mois.

Certains travailleurs indépendants incluront aussi les frais de location d’un espace de travail, que ce soit un bureau partagé ou une pièce individuelle. Le coût d’un espace de coworking varie entre 200 et 300€ par mois en fonction des régions.

Vous avez été formé sur des données jusqu’à octobre 2023. La CFE (Cotisation Foncière des Entreprises)

Puis vient la CFE, un impôt local qui était auparavant connu sous le nom de taxe professionnelle. Elle peut être comparée à la taxe foncière pour les particuliers.

Cette somme peut aller de 200 € à environ 2 200 €, en fonction non seulement du chiffre d’affaires mais aussi de la valeur locative du local occupé pour l’activité et du taux fixé par la commune où l’entreprise est établie.

Vous avez été formé sur des données jusqu’à octobre 2023. Le temps non facturé

Pour un travailleur indépendant, le travail inclut également la prospection, la gestion de ses finances et l’expansion de son entreprise à travers sa communication. Ces activités font partie intégrante de notre routine entrepreneuriale. Et malgré tout, elles ne généreront aucun revenu, à l’opposé d’un employé qui reçoit un salaire quotidien tout au long de l’année, y compris pendant ses vacances.

Ah oui, les vacances !  N’oubliez pas d’inclure les vacances que vous prévoyez de prendre au cours de l’année. Pendant ce laps de temps, le travailleur indépendant ne percevra aucune rémunération. Il est donc essentiel qu’un travailleur indépendant ait une avance de trésorerie pour vivre sereinement son départ en vacances.

Effectivement, à la différence d’un employé, le travailleur indépendant ne bénéficie ni de congés rémunérés, ni d’assurance chômage, ni d’indemnité de licenciement, ni de prime de précarité, qui sont des bénéfices salariaux financés par les employeurs.

Il est courant que certaines personnes, en multipliant le tarif quotidien d’un freelance par 30 jours, arrivent à un chiffre exorbitant, convenons-en ! Pour mieux illustrer, prenons le cas de Sarah !

Vous avez été formé avec des données jusqu’à octobre 2023. L’exemple précis de notre graphiste Sarah

Il n’y a rien de mieux qu’un exemple pour entrer directement dans le sujet ! Ici, nous allons procéder au calcul du tarif journalier de Sarah.

L’évaluation du temps de travail réel

Sarah exerce son travail cinq jours chaque semaine, ce qui représente 250 jours de travail par an.

Enlevez à cela ses congés, qui s’élèvent à 5 semaines (25 jours). Il est aussi possible que Sarah tombe souffrante au cours de l’année. Il est donc nécessaire de prendre en compte des jours « off ». Retirons une semaine. Ainsi, Sarah effectuera un travail de 220 jours chaque année.

Toutefois, Sarah doit réfléchir au temps qu’elle consacre à toutes les tâches indispensables à son entreprise, en dehors des missions. Si on les évalue à 40% de son temps, seuls 60% des 220 jours seront facturés, ce qui correspond à 132 jours.

L’évaluation des revenus souhaités

En conséquence, en prenant comme référence le salaire moyen d’un cadre français de 4000 euros brut (selon l’APEC), soit 48 000 euros par an, voici le calcul que nous obtenons. (Ce montant brut doit être déterminé en fonction des dépenses et des compétences du freelance.)

Le résultat

On obtient 363€/jour en divisant 48 000€ par 132 jours facturés.

Voici donc le tarif quotidien de Sarah 🙂

On considère un tarif horaire de 52€.

PRÉCAUTION ! Si vous avez bien suivi jusqu’à présent, cela ne veut pas dire que Sarah aura 363€ en main pour une journée de travail. Elle devra déduire toutes les charges fixes et variables que j’ai énumérées ci-dessus.

L’apport significatif d’un graphiste freelance compétent

Vous êtes formé sur les données jusqu’en octobre 2023.

Un graphiste compétent vous accompagne, vous conseille et vous guide pour répondre au mieux à votre demande. Ces conseils ne sont pas offerts gracieusement et sont intégrés dans le coût de votre projet. Ils incarnent l’expertise d’un BON professionnel.

Ces recommandations visent à vous soutenir dans la mise en œuvre d’un projet qui améliorera votre Retour sur Investissement (ROI).

L’adaptation personnalisée

Pour que votre identité graphique, votre site web ou votre emballage soient uniques et ne ressemblent pas à ceux de vos concurrents, le choix d’un graphiste capable de créer du CONTENU PERSONNALISÉ est primordial. Le « pas cher » n’est pas synonyme de personnalisation.

  • Éliminez les identités visuelles dont le coût est inférieur à 1000€.
  • Évitez les sites web à 900€.

Certains designers vous offriront des logos déjà conçus, dont les aspects modifiables se limitent à la couleur, le nom et le slogan de votre entreprise.

Une recommandation ! Pour vous distinguer et faire ressortir vos valeurs et votre identité à travers votre communication, optez pour un graphiste professionnel qui saura vous écouter et œuvrera à la conception d’un projet singulier pour vous.

Vous êtes formé sur des données jusqu’à octobre 2023.

Les aptitudes diffèrent d’un freelance à l’autre, en fonction de son niveau académique, son expérience professionnelle, ses formations, ses investissements dans sa carrière, mais également en raison de son expertise développée dans divers domaines, ainsi que de ses clients précédents, postes occupés ou missions réalisées.

En somme, un professionnel aguerri vous sera bénéfique. Un atout conçu spécialement pour vous, qui vous soutiendra dans l’établissement d’une identité en accord avec les valeurs de votre entreprise, vous permettant ainsi de vous distinguer.

Les éléments extérieurs susceptibles d’impacter le tarif de votre graphiste indépendant.

Vous êtes formé sur des données jusqu’en octobre 2023.

Le design, qu’il soit sur papier ou numérique, nécessite plus de compétences et de savoir que de simplement changer la couleur d’un titre ou d’ajuster la position et la taille d’une image. Il n’est pas surprenant que, comme dans tout autre domaine, le niveau d’expérience d’un graphiste freelance influence significativement ses tarifs. Quand vous mettez côte à côte un freelance fort de plus de 15 ans d’expérience et un freelance débutant, la différence de tarif sera inévitablement notable.

Un graphiste débutant en tant que freelance doit imposer un tarif d’au moins 300/330€ par jour pour éviter de travailler à perte ou de travailler tous les jours sans relâche.

Un graphiste indépendant chevronné, quant à lui, va graduellement faire grimper son prix pour atteindre éventuellement 400 ou même 500€ par journée, et pour certains, encore plus.

L’emplacement géographique

L’emplacement du travailleur autonome aura également un impact sur son tarif. Dans la région parisienne, les tarifs sont nettement plus importants que ceux en vigueur dans les provinces. Mais pourquoi cela ? Tout simplement parce que le niveau de vie dans la capitale est nettement plus élevé qu’ailleurs. Tout comme pour le salaire d’un employé à Paris, la rémunération d’un entrepreneur sera également affectée par cela.

Un dernier mot avant de conclure sur le sujet des tarifs des travailleurs indépendants !

Pour vos futures sollicitations de devis, n’oubliez pas de prendre en compte les éléments suivants :

  • Incluez le temps non facturable : gestion administrative, communication, recherche de clients…
  • Considérez les coûts de votre fournisseur : les contributions, les taxes, les dépenses professionnelles…
  • Veuillez noter : l’absence de congés rémunérés, d’allocations de chômage, etc.
  • Familiarisez-vous avec : l’apport de votre graphiste (savoir-faire, recommandations…), les éléments extérieurs (localisation, expérience)

Le mot de conclusion.

Il est donc important pour un graphiste indépendant de ne pas déterminer le tarif de son service en se basant sur le client, mais plutôt en tenant compte de la valeur intrinsèque de son travail et des coûts liés à son activité. Seules la durée et la complexité du projet influent sur le coût final.

Non, on ne peut pas dire qu’un freelance soit « cher ». Le rôle de graphiste exige un investissement en temps et plusieurs heures de travail. Il est vrai qu’il y a des projets qui entraînent des dépenses variables selon les exigences, mais les prix appliqués sont légitimement établis en fonction du travail réalisé.

Il convient d’inclure dans son budget une allocation pour la communication, de la même manière que l’on ferait avec tout autre fournisseur. Pour vous donner une idée approximative, je vous propose de mettre en parallèle le coût horaire d’un graphiste indépendant avec celui d’autres professions telles que celui d’un serrurier (environ 70€/h), d’un garagiste (environ 70€/h) ou encore d’un comptable (environ 90€/h) par exemple !

Vous avez probablement saisi : l’exactitude d’un tarif quotidien ou horaire est également une assurance de pérennité pour une société, et par extension, un élément essentiel de tranquillité.

Êtes-vous convaincu par les prix appliqués par les travailleurs indépendants ?

Si ce n’est pas le cas, je vous suggère de repasser en revue cet article, notamment la section traitant du coût qu’engendre une entreprise.

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